Physionomie : [minimum 10 lignes]

La première chose que l’on remarque chez Diina, est la couleur flamboyante de ses longs cheveux que la demoiselle porte habituellement détaché et qu’elle noue en chignon au moment de combatte. La couleur indigo de ses grands yeux est aussi une chose que l’on remarque très facilement. Deux traits qui la rendent très différentes, même chez elfes dont elle est issue. Et pourtant tout cela n’est pas dû à un sort de transformation qui a modifié ses traits, comme l’aime faire certains elfes. Elle possède également des lèvres dont la couleur est aussi rouge que le sang. La jeune fille qui est une descendante de la race des elfes possèdent les traits que partagent les personnes de sa race, un corps svelte et fin. Mais il ne faut pas s’imaginé que cela fait d’elle une faible femme. C’est même pour cela qu’elle a choisi de devenir une kafir, car cela lui permet d’utiliser les dons qu’elle possède, comme son pas léger et sa formidable dextérité avec des armes légères. Tout cela néanmoins reste le fruit d’un entraînement qu’elle suivie sous la direction de son maître Sanael.

Psychologie : [minimum 7 lignes]
Diina impose un contraste flagrant avec son maître. D’une humeur joyeuse à toute épreuve, celle-ci s’émerveille de la vie et de tout ce qui l’entoure, c’est très naturellement que celle-ci possède un grand sens de la curiosité, qu’elle parvient à maîtriser grâce à l’éducation que son maître lui a procuré. D’ailleurs ce n’est pas la même chose qui lui a enseigné, puisqu’il a partagé avec elle toute sa science du monde qui les entourent et aussi sa science de la magie, ce qui a permis à la jeune demoiselle de devenir un mage très puissant.
Sa joie de vivre cache pourtant bien des mystères, car Diina possède bien d’autres qualités qui ont fait d’elle ce qu’elle est maintenant, comme la ténacité dont elle a fait preuve durant tout le temps qu’elle a passé avec Sanael et dont elle fait preuve également dans ses combats. Une chose la caractérise également, c’est le lien de confiance qu’elle a noué avec son maître et qui avec le temps s’est transformé en passion. Mais celle-ci n’est pas partagée, car il n’est même au courant des sentiments qu’elle lui porte. Pourtant tous les soirs au moment de son tour de garde, elle en profite pour regarder avec admiration celui qu’elle aime, s’imaginant certaines fois qu’ils s’enfuient ensemble vers des contrées lointaines, loin de tous les tumultes dans lesquelles ils sont plongés depuis bien des années.